Notre priorité est que les français gagnent plus, que leur pouvoir d'achat augmente !
A quoi sert de vivre plus longtemps, d'avoir plus de bébés, si l'on n'a pas les moyens de profiter de la vie, de vivre mieux, tout en gâtant ceux qu'on aime.
Or, plus de pouvoir d'achat, c'est moins de prélèvements.
Moins de prélèvements, c'est un rééquilibrage du budget de l'état dont la dette est devenue aujourd'hui insoutenable !
Pourtant des solutions existent à condition de le vouloir et de l'expliquer aux français :
La dette de la France : c'est 1.117 milliards d'euros fin 2005 contre 92 milliards d'euros en 1980 : 66 % de la richesse créée chaque année !
Ce désendetter est une priorité pour se redonner des marges de manœuvre politique.
Les "mauvaises dépenses", c'est à dire les contraintes budgétaires fortes, tels que les simples intérêts de la dette, absorbent pratiquement le produit de l'impôt sur le revenu et donc nous privent des "bonnes dépenses".
Dans le remarquable rapport de Michel Pébereau, la dette publique est comparée à une coupe "géologique" qui met clairement en évidence les conséquences financières très pénalisantes des choix de politique économique des gouvernements de gauche ; toujours incroyablement à contresens de l'économie mondiale et qui ont lourdement pénalisé notre croissance, nos finances et précipité notre dette !
- Les recrutements massifs de fonctionnaires,
- l'abaissement de l'âge légal de la retraite à 60 ans,
- les 35 heures...
Trois mesures qui à elles seules expliquent plus de 400 milliards d'euros de la dette actuelle.
Et même lorsqu'une croissance exceptionnelle du pays (entre 1997 et 2001) due pour l'essentiel à la conjoncture économique mondiale, a généré des recettes fiscales exceptionnelles qui auraient pu permettre le désendettement, même pendant cette période le gouvernement socialiste a accumulé 160 milliards d'euros supplémentaires.
Pendant ce temps, nos amis européens ont réduit sensiblement leur endettement, de 10 à 20% pour la Grande-Bretagne, les Pays-Bas, l'Espagne....
Ne pas dépenser l'argent qu'on n'a pas est compréhensible par chaque contribuable qui bataille chaque mois pour rester dans son propre budget !
Nous voulons, nous devons, retrouver la "vertu" de la bonne gestion en rééquilibrant le budget de l'état.
Nous devons arrêter le processus qui consiste à vivre à crédit sur les générations futures.
D'autres pays l'ont fait, nous devrons le faire !
Ce que nous voulons, c'est ce que nous ferons ! L'état doit dépenser moins pour permettre aux français de gagner plus, de travailler plus, de profiter plus... de vivre plus !
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