En matière de politique internationale, seul Nicolas SARKOZY présente un projet cohérent et structuré.
Domaine réservé par excellence du Président de la République, la diplomatie française est l’un des enjeux capitaux de cette campagne. Les esprits chagrins pourront toujours déplorer que ce sujet ne fût pas assez évoqué durant ces longs mois de campagne, je dirai qu’au contraire il le fût mais au travers de nombreuses préoccupations nationales.
Il faut bien le souligner, c’est le seul parmi les candidats à avoir exercé pendant de nombreuses années un rôle de premier plan à la fois sur la scène nationale et internationale. Ministre en charge du Budget, puis de L’Intérieur et de l’Economie, il a l’expérience des sommets européens, des missions à l’international… et Nicolas SARKOZY a nourri très largement sa réflexion de ses échanges avec des dirigeants étrangers. Par ailleurs, il a pu, fort de ses liens anciens avec le Président Chirac, observer et analyser les fondements de la politique extérieure telle qu’elle a été conduite par l’Elysée.
La voix de la France résonne encore de par le monde et notre prise de position atypique mais courageuse au moment de la guerre en Irak ou encore notre engagement en faveur du développement durable sont plutôt bien perçus par toute une partie de la planète.
Mais quand le candidat réclame un traité européen simplifié, gage d’un retour à l’efficacité pour des institutions européennes abouliques, quant il aborde la question de l’endiguement de l’immigration clandestine au préalable d’une ambitieuse politique de coopération mais aussi lorsqu’il dénonce les réseaux de la Françafrique ou encore certains aspects de la politique intérieure menée par Vladimir POUTINE, force est de constater que Nicolas SARKOZY sera le seul à même de mener une diplomatie efficace, délivrée des scories du passé.
Nicolas SARKOZY saura relever les défis qui se posent à notre pays car il a une claire conscience de ces enjeux. Chez lui le pragmatisme dénué de tout idéologisme est toujours de mise ainsi lorsqu’il déclare le 16 avril dernier sur TF1, « je ne veux pas que l’Europe soit le cheval de Troie de la mondialisation », c’est bien faire preuve de courage et de grand sens de l’intérêt général que de parler ainsi. Il s’agit pour lui, tant sur le plan européen qu’international de défendre les intérêts de notre pays, économiques, financiers, géopolitiques…tout en se fondant sur une certaine idée de la France telle qu’enseignée par le Général de Gaulle.
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