La crise économique que le monde traverse a bouleversé toute la stabilité des acteurs économiques et la confiance des français.
Les enjeux sont graves, des risques vitaux pèsent sur beaucoup d’entreprises.
Le Président de la République a tout mis en œuvre pour que les entreprises sortent de la crise et évitent le dépôt de bilan. La France a les moyens de sortir de cette crise.
Il est évident que le poids des charges sociales et fiscales entraîne un manque de compétitivité de nos entreprises. Les mesures annoncées et prises par le Président de la République dans de nombreux domaines concernés par la crise privilégient l’innovation par des crédits supplémentaires injectés dans la recherche et le développement. C’est entre autres par là que nous arriverons à sortir nos entreprises et notre industrie de la crise que nous traversons.
Il est faux de dire qu’il n’y a plus d’avenir. Au contraire, la crise actuelle nous force à opérer une mutation qui devenait nécessaire. Les entreprises doivent adopter une vision à long terme. Nous devons préparer le futur avec de nouvelles technologies, en protégeant notre environnement. C’est en effet en devenant plus innovantes que nos entreprises et notre industrie seront compétitives dans l’avenir. Il leur faut une longueur d’avance sur nos voisins pour rester dans le jeu.
Nous serons très vigilants sur les entreprises qui profiteront de la crise pour casser l’emploi et licencier massivement sans de vraies raisons, tels les navires qui dégazent illégalement au large de nos côtes.
Ce qui était important était de soutenir l’activité en investissant massivement. La crise impliquait non pas de ralentir mais de poursuivre et d’accélérer les réformes entreprises depuis l’élection de Nicolas SARKOZY. C’est ce qu’il a fait.
Les entreprises doivent jouer le jeu. L’Etat a demandé certaines contreparties, ce qu’il était en droit de faire dans la mesure où il est intervenu financièrement.
Grâce au chef de l’Etat, le politique est remis au milieu du jeu. Le Président de la République a assumé comme il le fallait ses responsabilités dans la crise.
Nicolas SARKOZY candidat l’avait promis, il sera le président du pouvoir d’achat. En cette période de crise, il est vital pour beaucoup d’entre nous que cette promesse soit tenue. Cette guerre, je le sais, le président de la République la livre jour après jour, réforme après réforme, bataille après bataille.
Nous devons lui faire confiance.
Nous comptons sur les entreprises de notre pays, ce sont elles qui nous sortiront de la crise.