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C’est à un choix historique que nous nous sommes livrés aujourd’hui.
En élisant Nicolas SARKOZY, les Français ont ainsi clairement signifié leur forte volonté de voir notre pays changer, afin que, dans un monde en pleine mutation, la France soit un pays fraternel et généreux, qui compte en Europe et dans le monde.
C’est en restant fidèles à nos valeurs, nos traditions et notre histoire que nous puiserons en nous-mêmes la capacité de ce changement. C’est, je le sais, le rêve de Nicolas SARKOZY.
Redonner confiance aux Français, libérer les énergies, dénouer les blocages de notre société… tels seront ses premiers objectifs. Il s’agit désormais pour nous tous d’œuvrer ensemble pour trouver des solutions aux maux français : stimuler la croissance pour réduire la dette tout en menant des politiques publiques innovantes, ramener notre fiscalité à un niveau raisonnable, récompenser et encourager le travail et le mérite, vaincre le chômage de façon pérenne, investir dans la recherche et l’innovation…
Une France où la réussite est au service de la solidarité.
Parce que nous allons tous ensemble produire plus de richesses, de grandes politiques de solidarité vont pouvoir être engagées car nous avons le devoir de rassembler le peuple français et d’améliorer les conditions de vie et le pouvoir d’achat de tous. Nous allons lutter contre la pauvreté et les discriminations de tout ordre, garantir à chaque enfant un accès au savoir (l’école doit redevenir le pilier de l’égalité des chances), faire en sorte que chaque citoyen ait accès à un logement décent, soutenir nos concitoyens les plus âgés (et leurs proches), permettre aux personnes handicapées de vivre avec et comme tout le monde, répondre au mal des quartiers en difficulté...
Une France qui fait face aux défis du XXIème siècle.
C’est une nouvelle page qui s’ouvre à nous ce soir. A nous désormais, derrière Nicolas SARKOZY, de relever les défis planétaires : répondre à l’urgence du développement durable, accompagner plutôt que subir les effets de la mondialisation ainsi que de l’immigration… La France doit continuer à incarner une certaine idée de la démocratie et des droits de l’Homme, si souvent bafoués.
Fiers d’être Français.
Ce vote d’aujourd’hui marque aussi notre souhait d’une démocratie moderne, irréprochable, transparente, impartiale, au service de la France et des Français.
Durant des années, nous avons eu à déplorer des discours de contrition et de repentance quant à notre histoire et notre destin. Or c’est l’un des engagements de Nicolas SARKOZY : redonner à nos concitoyens, quelques soient ses origines, la fierté d’être Français et de porter les valeurs républicaines à travers le monde. De défendre la langue et la culture française comme des biens pour l’humanité.
Il sera le Président de tous les Français, sans considération d’aucune sorte pour les partis, les idéologies…Aujourd’hui, en élisant Nicolas SARKOZY, nous avons fait le choix de la France.
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En matière de politique internationale, seul Nicolas SARKOZY présente un projet cohérent et structuré.
Domaine réservé par excellence du Président de la République, la diplomatie française est l’un des enjeux capitaux de cette campagne. Les esprits chagrins pourront toujours déplorer que ce sujet ne fût pas assez évoqué durant ces longs mois de campagne, je dirai qu’au contraire il le fût mais au travers de nombreuses préoccupations nationales.
Il faut bien le souligner, c’est le seul parmi les candidats à avoir exercé pendant de nombreuses années un rôle de premier plan à la fois sur la scène nationale et internationale. Ministre en charge du Budget, puis de L’Intérieur et de l’Economie, il a l’expérience des sommets européens, des missions à l’international… et Nicolas SARKOZY a nourri très largement sa réflexion de ses échanges avec des dirigeants étrangers. Par ailleurs, il a pu, fort de ses liens anciens avec le Président Chirac, observer et analyser les fondements de la politique extérieure telle qu’elle a été conduite par l’Elysée.
La voix de la France résonne encore de par le monde et notre prise de position atypique mais courageuse au moment de la guerre en Irak ou encore notre engagement en faveur du développement durable sont plutôt bien perçus par toute une partie de la planète.
Mais quand le candidat réclame un traité européen simplifié, gage d’un retour à l’efficacité pour des institutions européennes abouliques, quant il aborde la question de l’endiguement de l’immigration clandestine au préalable d’une ambitieuse politique de coopération mais aussi lorsqu’il dénonce les réseaux de la Françafrique ou encore certains aspects de la politique intérieure menée par Vladimir POUTINE, force est de constater que Nicolas SARKOZY sera le seul à même de mener une diplomatie efficace, délivrée des scories du passé.
Nicolas SARKOZY saura relever les défis qui se posent à notre pays car il a une claire conscience de ces enjeux. Chez lui le pragmatisme dénué de tout idéologisme est toujours de mise ainsi lorsqu’il déclare le 16 avril dernier sur TF1, « je ne veux pas que l’Europe soit le cheval de Troie de la mondialisation », c’est bien faire preuve de courage et de grand sens de l’intérêt général que de parler ainsi. Il s’agit pour lui, tant sur le plan européen qu’international de défendre les intérêts de notre pays, économiques, financiers, géopolitiques…tout en se fondant sur une certaine idée de la France telle qu’enseignée par le Général de Gaulle.
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La chronique d'Yves de Kerdrel
Chère Madame, cher Monsieur,
Je mesure que votre temps est compté à moins de trois semaines du premier tour. Mais je voulais vous faire part de ma perplexité à l'égard de mesures que vous déclinez tous les deux dans vos discours et qui concernent l'emploi dans les petites et moyennes entreprises.
Permettez d'abord que je me présente. Je fais partie de ces gens à l'esprit aventureux qui ont décidé coûte que coûte de créer leur affaire. Je l'ai fait il y a une vingtaine d'années, dans un contexte où l'entreprise n'était pas mieux considérée que maintenant, où les formalités pour démarrer une activité s'apparentaient à un parcours du combattant et sans savoir que je passerais ma vie à être montré du doigt, parce que de fait j'avais basculé du côté des patrons. Je n'ai pourtant pas changé du jour au lendemain. Au contraire, j'ai vu les soucis et les tracas de tous ordres se multiplier. Mon niveau de vie n'a jamais été celui d'un nabab. Mais comme mon activité se développait bien, comme je parvenais à embaucher, jusqu'à franchir le seuil d'une vingtaine de salariés, tout autour de moi on me considérait comme un « patron », comme si on en était resté à la France de Germinal, où il y aurait d'un côté les exploités et de l'autre les exploiteurs.
Malgré tout je n'ai rien à regretter. Mon entreprise de charpentes affiche aujourd'hui un chiffre d'affaires en croissance grâce à la bonne santé du marché de la construction. Je crois disposer d'un solide fonds de commerce, qui tient au sérieux de nos fabrications, au respect des délais de livraison et à l'efficacité des salariés. Et ce qui me rend le plus heureux, ce n'est ni le fait d'être indépendant, ni celui de pouvoir me verser un salaire de 4 000 euros par mois, auquel viennent s'ajouter les 2 000 euros que perçoit ma femme en tant que comptable, c'est de me dire que cette année, les affaires se développant, je vais pouvoir embaucher.
On n'imagine pas la satisfaction qu'il y a chez un entrepreneur à créer de nouveaux emplois. Cela signifie que tous mes calculs étant faits, toutes mes hypothèses d'avenir étant validées, je sais que je dispose d'une marge budgétaire pour créer plusieurs postes supplémentaires. Ce qui va me permettre de développer de nouveaux produits et de répondre à une demande croissante.
Alors, bien sûr, quand je vous entends, Monsieur Bayrou, proposer la possibilité de créer deux emplois nouveaux sans charges, ou bien vous, Madame Royal, sortir du chapeau au dernier moment - alors que cela ne figure pas dans votre pacte présidentiel - que les jeunes sans qualification pourraient être embauchés par des artisans pendant un an de manière « gratuite », leurs salaires et charges étant assumés par la collectivité, j'écoute avec curiosité. Mais inévitablement je me dis : ont-ils déjà un jour mis les pieds dans une entreprise ? Savent-ils qu'un entrepreneur embauche non pas à cause d'une aide X ou Y, mais parce qu'il a besoin de bras pour fournir une demande ? J'ai lu un jour dans Le Figaro qu'au cours des trente dernières années il y avait eu au total près d'une quarantaine de plans-emploi. Tous bâtis de la même manière, avec des allégements de charges, ou des tas de subventions. Mais il me semble étonnant qu'un beau jour personne ne se soit dit : « Stop ! Arrêtons de distribuer de l'argent public. Faisons simplement en sorte que les entreprises puissent se développer, pour qu'elles créent spontanément du travail. »
J'étais, la semaine dernière, Madame Royal, à votre meeting à Limoges, où vous avez expliqué que ce qui coûte cher au pays, c'est le chômage. C'est vrai. Mais ce n'est pas en distribuant de l'argent pour créer des emplois artificiels, comme vous le proposez, ainsi que monsieur Bayrou, que l'on cicatrisera cette plaie. Surtout si dans le même temps vous augmentez le smic. Pour moi, cela s'appelle simplement un jeu de bonneteau.
Excusez ma naïveté, car je ne se suis pas aussi aguerri que vous deux aux questions économiques. Mais je sais qu'en ce qui me concerne, plus les Français construiront des maisons, plus ils auront besoin de charpentes et plus je pourrai embaucher, quels que soient les 630 dispositifs d'aides qui ont été recensés. Ce que je vous suggère à tous les deux, c'est simplement de permettre aux Français de travailler plus, pour gagner davantage. Il n'y a pas de miracle en économie. Dès lors qu'ils gagneront plus, ils dépenseront plus. Et tout le pays en profitera. À commencer par le fisc.
Il vous reste une vingtaine de jours de campagne. Je comprends que vous soyez tentés de surenchérir. Mais je vous en supplie, arrêtez de faire des promesses de ce type. Nous seuls chefs d'entreprise savons quand et comment nous pouvons embaucher. Et, de grâce, cessez de distribuer une richesse nationale qui n'a pas encore été produite. Je ne sais pas s'il faut remettre la France à droite. En tout cas, il faut la remettre à l'endroit. C'est parce que vous ne cessez, tous les deux, de mettre la charrue avant les boeufs que vos déclarations m'inquiètent, et que je me suis permis de vous écrire. Mais je suis prêt à en reparler avec vous si vous passez par le plateau de Millevaches, où je vous accueillerai volontiers.
En attendant croyez à tout l'intérêt que je porte à vos déclarations respectives.
« Madame Royal et Monsieur Bayrou, de grâce, cessez de distribuer une richesse nationale qui n'a pas encore été produite »
Rédigé à 14:38 dans Archives | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Police, Gare du Nord
Quand j’étais enfant, la France aimait ses policiers, respectait leur parole, admirait leur courage et leur dévouement, enviait leur uniforme…
Quand j’étais enfant, en allant à l’école, on disait « bonjour Monsieur l’Agent ».
Les images de la TV relatant les évènements récents de la Gare du Nord m’ont consternée. Oh, ce n’est pas tant la fraude au ticket d’un multirécidiviste, spécimen de voyou qui a toujours existé même dans mon enfance, ni même les échauffourées elles-mêmes, entre CRS et jeunes casseurs, mais plutôt, le mépris, la haine, le doute de la population à l’égard de sa Police.
Ceux-là même qui, pour les moins graves, ce sont mis à hurler pour soutenir le « pauvre voyou fraudeur » « injustement poursuivi » par les forces de l’ordre et ceux qui, très nombreux et beaucoup plus graves, se sont immédiatement mis à filmer avec leur portable les scènes ; comme s’ils filmaient les preuves d’une bavure, s’auto-attribuant immédiatement le rôle de juge !
Madame Royal, comment pouvez-vous prétendre aux fonctions suprêmes, à la Présidence le la République, après les déclarations, « juste ridicules », que vous avez faites sur ces incidents.
Prendre le parti de ceux qui enfreignent les lois de notre république contre les fonctionnaires de Police, courageux, admirables (au sens dignes d’être admirés) cela va bien dans le sens où les socialistes ont toujours entrainé les français : la révolte, la contestation des lois, l’assistanat, le soutien à ceux qui enfreignent la loi au détriment de ceux qui la respectent et de ceux qui la font respecter, l’assistanat systématique de ceux qui ne travaillent pas au détriment de ceux qui se lèvent le matin.
Madame Royal que dites vous à vos enfants ? Comment seront éduqués vos petits-enfants ?
Il faut être fier de sa Police. C’est un des labels de qualité d’un pays.
Nous avons des « flics » formidables et ils doivent contribuer très largement à la place de la France dans le monde, à son attractivité économique, à son attractivité touristique, à son respect…
Alors Madame Royal, plutôt que de tenter de creuser un fossé entre les français et ceux qui les protègent croyez-moi il vaudrait mieux réapprendre aux jeunes à dire : « bonjour et merci Monsieur l’Agent ».
Rédigé à 11:35 dans Archives | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
La lecture de la presse américaine qui suit actuellement la campagne présidentielle en France est très intéressante.
Ainsi, si tous les commentateurs tendent à considérer que la France est embourbée dans un système archaïque tant sur le plan social qu’économique, ils notent également que les Français ont un véritable désir de changement et cette tendance forte pourrait s’incarner en un vote en faveur de Nicolas SARKOZY, « l’homme qui veut réveiller la France », comme l’a surnommé le Weekly Standard.
Outre-Atlantique en effet, la presse salue en Nicolas SARKOZY le candidat « anti-antiaméricain » et attend de lui qu’elle nous débarrasse de « cette haine de l’Amérique » si régulièrement exprimée depuis 1968.
C’est aussi l’une des mes plus fortes convictions : je pense sincèrement que notre pays gagnerait à reconsidérer son rapport aux Etats-Unis.
La guerre en Irak a suscité de très vifs débats et de grandes critiques (parfois justifiées !) à l’endroit de notre vieil allié. Mais il me semble qu’il ne faut jamais perdre de vue le legs américain, cette énergie et cette liberté chevillées au cœur de tous les citoyens américains, qui fait que dans les écoles, les universités, les stades… les Américains, toutes origines confondues entonnent avec joie et fierté leur hymne national.
Il y a aux Etats-Unis un sentiment très fort d’appartenance à une nation jeune et courageuse qui devrait, selon moi, nous interpeller davantage.
Non, tout n’est pas à « jeter » dans le modèle américain, loin de là. Et j’apprécierais qu’une partie de notre classe politique et médiatique s’en souvienne, lors de ses attaques systématiques et souvent franchement inutiles.
Il va sans dire que je trouve le procès fait à Nicolas SARKOZY en raison de son « américanisme prononcé » ridicule et dans ce domaine là aussi il faut savoir raison garder et reconnaître, avec lucidité, tout l’apport des Américains à notre histoire et notre société.
Que nos enfants se passionnent de Walt Disney et de Mac Do ou que nos ados rivalisent des derniers Lévis ou de la dernière version Microsoft, ne nous enlèvera pas notre exceptionnelle « French Touch ». La France a toujours eu et a toujours besoin des USA. Il faut leur témoigner l’affection des membres de la même famille que nous sommes : celle des démocrates et des pays qui comptent dans le monde.
Une affection juste, un respect évident, mais avec toutefois la vigilance et l’indépendance des grandes nations dont nous faisons partie.
Rédigé à 12:39 dans Archives | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Jamais la politique n’a autant intéressé les Français et jamais une campagne présidentielle ne les avait passionnés de la sorte… Tant mieux ! Si ce virus pouvait atteindre la France profonde, celle d’en bas, celle d’en haut ou d’ailleurs… J’en veux pour preuve les audiences des émissions politiques : régulièrement, entre 8 et 10 millions de personnes se placent devant leur téléviseur pour assister, parfois en famille ou entre amis, à un débat politique. Et le succès des émissions politiques ne faiblit pas au point que les chaînes, y compris celles qui demeuraient très éloignées de la politique, multiplient les émissions sur ce thème. De même les ventes des ouvrages rédigés par ou sur des politiques sont impressionnantes. Jamais les libraires n’avaient constaté un tel attrait des lecteurs pour ce type d’ouvrage. Celui ayant réalisé les meilleures ventes (et de très loin) étant Nicolas SARKOZY avec son « Témoignage » (plus de 300 000 exemplaires vendus à ce jour). Et que dire des meetings ? On prétendait les Français désinvestis de la chose politique et l’on constate que la moindre réunion publique rassemble quelques centaines de personnes quand les meetings des candidats eux-mêmes attirent plus de 8000 à 10 000 personnes. Autre enseignement étonnant de cette campagne présidentielle : la participation des jeunes ! On a tous pu constater leur inscription en masse sur les listes électorales mais également leur présence effective dans les meetings et dans l’organisation de la campagne par le biais notamment d’internet. J’ai le sentiment que la jeunesse de France s’est réapproprié le champ politique par l’intermédiaire des blogs et autres forums de discussion. On a ainsi franchi une nouvelle étape dans la démocratie participative et je me félicite de ce nouvel investissement qui traduit une réelle volonté de participer et de réfléchir à un destin commun. Je souhaite vivement que cela s’incarne dans les urnes le 22 avril prochain et que les jeunes notamment aillent voter en nombre car c’est définitivement leur intérêt. Bien avant toutes les campagnes de communication et leurs slogans, il me revient cet aphorisme de Beaumarchais « Ne dites jamais que vous ne vous intéressez pas à la politique car de toutes façons la politique s’intéressera toujours à vous »… Je crois que ce regain d’intérêt pour la chose publique a une explication : les Français me paraissent plus responsabilisés par l’enjeu de cette présidentielle. Car après tout il s’agit pour la France de relever d’immenses défis et la tâche n’est pas mince. Et le premier à avoir tenu ce discours de responsabilité, c’est Nicolas SARKOZY. Il est le premier homme politique à parler franc et direct au peuple français. Désormais, un politique est audible et compréhensible. Il parle du fond, sans rien éluder ou nier des difficultés qui se poseront, de celles qu’il a vécues et affrontées… Nicolas Sarkozy fait ce qu’il dit et dit ce qu’il fait, toujours ! Et ce depuis 30 ans que je le connais et que je milite à ses côtés. Les Français ont toujours aimé la politique mais ils ne comprenaient plus nos hommes politiques qui leur tenaient un discours par trop technocratique. Avec une nouvelle génération d’hommes politiques, la tendance s’inverse. Nicolas SARKOZY tient un langage de vérité, dans une langue claire et accessible, il a réconcilié les Français avec la politique.
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Encore une journée où, je le crains, on va nous rabâcher quelques poncifs éculés et asséner des contrevérités très politiquement correctes.
En tant que femme, professionnellement et politiquement engagée, je considère que cette journée de célébration de la femme est une aberration totale, pis une commémoration à la limite du discriminatoire. Pourquoi organiser une journée de la femme et pas une journée de blonds ou des bruns ?
Appartenir au genre féminin constitue-t-il une différence telle au regard de la société qu’il faille orchestrer « une journée de la femme » ?
Et une journée pour dire quoi ?
- La Femme est l’égale de l’Homme.
Physiquement, biologiquement, cette assertion ne fait pas sens. Certes, le cerveau humain fonctionne de la même manière quelque soit le sexe mais homme et femme sont bien différents. Cela constitue le fondement de la plupart des espèces du règne animal et sa richesse.
Vouloir induire une indifférenciation, notamment dans la sphère familiale, me paraît facteur de déséquilibre nuisible à la société.
En revanche, c’est un fait qui doit demeurer toujours une réalité : Homme et Femme doivent être considérés égaux aux yeux de la Loi. Ce combat a revêtu toute son importance dans l’Histoire et peu à peu, les différences se sont estompées. Les Femmes ont désormais des droits équivalents, mais nous devons rester vigilants et pas seulement à l’occasion d’une journée par an ! Le sort de la femme musulmane par exemple, dans certaines formes de société, doit demeurer au cœur de nos priorités.
- Les Femmes doivent pouvoir travailler comme les Hommes.
Des lois sont régulièrement votées ou adaptées pour faire en sorte que les femmes puissent exercer toutes les activités professionnelles de leur choix.
Néanmoins, c’est une constatation avérée, lorsqu’une profession se féminise, on note qu’immédiatement, elle se précarise (recours aux temps partiels, salaires moindres…)
Il est d’usage de reconnaître aux femmes le don d’écoute, la capacité de verbalisation, la faculté à éviter les conflits et une plus grande conscience professionnelle.
Peu importe si certains anthropologues y voient des valeurs culturelles étroitement liées à l’histoire de la domination masculine, je considère qu’il s’agit des différences que les femmes doivent continuer à développer pour assurer un monde du travail plus harmonieux et œuvrer en complément de leurs collègues masculins.
- Les Femmes doivent être plus présentes en politique.
Dans ce sens, une loi sur la parité a été votée. Même si j’y étais très défavorable, finalement cette loi a pu susciter de nouvelles vocations parmi les femmes, et de ce fait elle représente un intérêt.
Mais je reste convaincue que dans notre pays l’influence des femmes en politique a toujours été très forte bien qu’indirecte.
Il me semble qu’être une femme, à fortiori en politique, ne doit pas faire l’objet d’un traitement particulier. Dans la gestion d’une ville, d’une collectivité… toutes les sensibilités, tous les vécus et ressentis doivent être également considérés pour un meilleur service aux citoyens.
Dans ce domaine également les femmes n’ont pas à vouloir ressembler aux hommes et doivent au contraire cultiver leurs différences.
En France, de nombreuses mesures ont été prises en faveur des femmes, pour leur permettre de concilier vie familiale et vie professionnelle. Le congé maternité, le congé parental, l’école dès 3 ans…certes, on peut toujours mieux faire et créer davantage de crèches avec des horaires adaptés…mais il me semble que la tendance est plutôt positive et l’excellente santé démographique de notre pays, à l’aune des autres nations occidentales, est un vrai motif de satisfaction. Les Françaises ont de plus en plus d’enfants, sont de plus en plus nombreuses à exercer une activité professionnelle et vivent de plus en plus tard…Pourquoi pas une journée de la Femme toute l’année ?
Rédigé à 17:53 dans Archives | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Le 9 mars prochain, le Bundestag allemand devrait voter, en principe à l’unanimité, un projet phare d’Angela Merkel : le passage de l’âge légal de la retraite à 67 ans.
Confrontés à un vieillissement de plus en plus marqué de la population et notamment des actifs, conservateurs et sociaux-démocrates ont décidé de voter ensemble pour cette mesure jugée indispensable, pourtant extrêmement impopulaire auprès de la population.
Cet acte courageux outre-Rhin devrait nous inciter à une profonde réflexion. J’ai encore en mémoire les déclarations courroucées de certains syndicalistes s’irritant que Nicolas SARKOZY et François FILLON envisagent de mettre fin aux régimes particuliers des retraites et d’allonger la durée du travail légal.
On ne fera pas l’économie d’une réforme essentielle des retraites en France s’il l’on veut contenir la hausse des cotisations qui pèse sur chacun d’entre nous. Et il est à cet égard édifiant de constater que chez nos amis allemands, l’intérêt général prévaut et que les deux grands partis décident de s’unir pour voter cette loi.
Comme j’aimerais que Droite et gauche confondues puissent œuvrer dans le futur à mettre en œuvre des mesures indispensables !
Dans le même temps, bien que persuadée qu’il faille allonger la durée de travail légal, je souhaiterais aussi vivement que l’on puisse réfléchir ensemble à tous les dispositifs qui permettraient d’augmenter le taux d’activité des 55-64 ans.
C’est l’un des plus bas en Europe et cette anomalie ne peut que nous interpeller !
Rédigé à 10:21 dans Archives | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Il a beau progresser dans les sondages, je continue de penser qu’il n’est qu’une invention médiatique et que les Français verront clair dans son jeu…
J’ai écouté François BAYROU lundi soir, lors de l’émission « J’ai une question à vous poser » et je ne pouvais m’empêcher d’évaluer toute l’étendue du fossé qui le sépare désormais des électeurs de l’UDF.
François BAYROU s’exprime et présente des idées d’un homme de gauche, la gauche européenne, entre tradition chrétienne-sociale et social-démocratie à l’instar des idées défendues par Romano Prodi.
On voit en Italie toute la limite de ce système : le Gouvernement Prodi est inaudible, impuissant.
Les mesures économiques que le candidat de l’UDF défend par exemple sont très significatives : sa social-économie n’est qu’un assemblage de mesures timides, imprécises, au pire créatrices de dépenses supplémentaires. Gestion hasardeuse des 35 heures, proposition surréaliste de plafonner l’avantage produit par l’ensemble des niches fiscales ou, plus étonnant après la décision des Français de rejeter le Traité constitutionnel européen, de confier à l’Eurogroupe le soin d’harmoniser les politiques économiques et fiscales de tous les pays européens !
Plus grave encore : souhaiter désigner un Premier Ministre de gauche dans le cas où il serait élu n’est-ce pas la volonté d’un homme qui s’apprête à prôner la cohabitation et donc l’immobilisme ?
François Bayrou, outre le fait qu’il trahisse ses électeurs qui ont dans la passé toujours clairement signifié leur appartenance à la droite, n’incarne pas une troisième voie. Il se borne pour l’instant à canaliser un vote protestataire.
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Rédigé à 17:48 dans Archives | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Des faucheurs de plans d’OGM ont été interpelés par les forces de l’ordre car ils refusaient de se soumettre aux prélèvements d’ADN destinés à la mise en place du fichier central.
Ils se sont même organisés en collectif afin de faire des émules.
Renforcé et étendu à l’occasion de la loi Sarkozy sur la délinquance, ce fichier génétique constitue une incroyable avancée sur le plan de la justice si l’on souhaite que celle-ci soit rendue de façon plus efficace, plus rapide, et dans le souci d’une grande sécurité.
Dans le monde entier, la lutte contre des faits graves tels que pédophilie, terrorisme, etc… se trouve renforcée par la découverte, l’utilisation et la généralisation du procédé d’empreintes génétiques. Le comportement de ces faucheurs d’OGM, qui prétendent que leur acte constitue un geste politique et non un acte de délinquance, refusant ainsi de se soumettre à la loi, est dangereux et incivique.
J’espère vivement que ces réfractaires à la loi réaliseront très rapidement l’importance de ce fichier dans l’application d’une justice moderne.
Et de façon plus générale, et dans un avenir proche, je suis persuadée qu’un tel fichier sera de plus en plus utile pour gérer les dons d’organes, identifier les donneurs potentiels, soigner des maladies rares,… Les applications sont nombreuses et je ne doute pas qu’à terme le relevé d’identité génétique constituera la carte d’identité de notre temps.
Rédigé à 11:38 dans Archives | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Un mandat municipal est une délégation de pouvoir que nos électeurs nous donnent pour assurer au mieux la gestion au quotidien de leur ville, de leur bien-être : assurer la gestion de ce qui concerne la vie de la cité, de leur quartier et leur qualité de vie.
Alors on peut aimer, ou ne pas aimer, l’ouest parisien et notamment le 16ème. On peut fantasmer sur les habitants de cet arrondissement. Il n’en reste pas moins vrai que ce sont des administrés qui méritent autant que les autres votre considération, votre soutien et votre attention.
De quoi s’agit-il ?
Vous avez décidé, Monsieur le Maire, de démolir puis de reconstruire le stade de rugby de Jean Bouin pour répondre aux sollicitations du Président du Stade Français.
Vous avez décidé cela sans aucune concertation, ni avec les élus de l’arrondissement, ni avec les habitants.
On ne fait pas le bonheur des gens, Monsieur Le Maire, sans eux et encore moins contre eux !
Vous allez alors rajouter aux nuisances et aux problèmes de cette partie du 16ème arrondissement que constitue le quartier de la Porte d’Auteuil.
Comme vous le savez sans doute Monsieur le Maire, j’ai toujours été un fervent supporter du rugby à Paris. J’en veux pour preuve, vous vous en souvenez sûrement, les compétitions internationales inter grandes écoles de rugby que j’ai créées et présidées pendant près de 10 années au stade Jean Bouin…
Le rugby comme valeur sûre du sport à Paris n’est pas discutable et mérite notre soutien. D’autant, et j’ouvre une parenthèse d’actualité brûlante pour notre quartier, que leur supporters inspirent les qualités de fairplay et d’encouragement digne et noble, dans des époques où certains autres sports trainent des sympathisants violents et qui rabaissent la pratique sportive.
Mais votre projet, Monsieur le Maire, n’est pas acceptable au regard du respect de la qualité de la vie, de la sécurité et de l’équilibre de ce quartier.
Il n’est pas acceptable parce qu’il apporte dans cette partie de Paris, déjà fort perturbée par le Parc des Princes, par Roland Garros, par les différents salons, des nuisances diverses : bruit, encombrements, insécurité …
Mais surtout, Monsieur le Maire, il n’est pas acceptable parce qu’il met en travaux le stade Jean Bouin pendant 3 ans. Là aussi dans le bruit, la poussière et les risques d’accident…
Vous ne tenez pas compte du risque financier grave que vous faites courir à Jean Bouin !
Comment survivront-ils pendant 3 ans ?
Il n’est pas acceptable parce que d’autres solutions existent :
Tout d’abord le Parc des Princes, le nouveau propriétaire du PSG se dit prêt à accueillir le Stade Français (et de plus la nouvelle concession accordée au PSG inclue la possibilité d’un second club résident).
Des études techniques très sérieuses sont en court pour permettre des changements de pelouse (gazon mixte) tels que réalisés en Angleterre et dans d’autres stades français. Si cela existe ailleurs, pourquoi pas chez nous ?
Rédigé à 13:00 dans Archives | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
La course en avant dans un monde rapide et impitoyable.
La détresse et la pauvreté d'une énorme partie du monde !
La richesse et l'égoïsme de l'autre part ! La folie et le terrorisme !.....
Gérer les intérêts de la France et surtout des français ! Sans faire abstraction bien au contraire de leur positionnement dans la mondialisation !
Un lot de décisions réfléchies et courageuses ! Un lot, aussi, de consultations et de concertations pour garder toujours le navire France dans la bonne direction.
Bonne direction pour gérer au plus près, en chef de famille, en chef d'entreprise le budget fort complexe de notre pays !
Libérer les énergies..... Favoriser le travail, le courage, l'entreprise, la mobilisation des forces vives ! Sans oublier d'aider les plus faibles, les plus diminués, les plus fragiles.......
Bonne direction pour diminuer les dépenses publiques, pour dépenser moins afin de dépenser mieux !
Bonne direction pour mettre le curseur, entre aides de tout ordre, et assistance, au bon endroit....
Bonne direction entre sécurité du territoire et sécurité des gens et des biens,..... et préservation des libertés individuelles !
Bonne direction entre augmentation des salaires et du pouvoir d'achat..... et redistribution des richesses !
Bonne direction entre courage, détermination.....et autorité !
Les problématiques sont complexes !
Les interrogations multiples et difficiles !
Les actions déterminantes et inquiétantes !
Pour agir et décider il faut être respecté !
La voix de la France a toujours été écoutée et très souvent entendue !
Lire la suite "Quel sera le lot quotidien du prochain Président de la République de la France? " »
Rédigé à 19:01 dans Archives | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
J'ai toujours été très hostile à la parité en politique...
Je pense que la politique est une vocation et qu'elle a tout à perdre à voir arriver des élus ou des dirigeants, uniquement parce qu'ils sont femmes, ou de couleur ou que sais-je encore ?
Doit-on remplacer des hommes compétents par des femmes sans enthousiasme, des élus dynamiques et très présents par d'autres sans conviction, sans courage seulement pour une question de couleur de peau, de sexe voire de race ?
La politique ne s'enrichira pas si on remplace les vrais vocations par les faux prétextes
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C'est ici
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Le philosophe et essayiste français André Glucksmann décide de soutenir Nicolas Sarkozy, candidat de l'UMP à l'élection présidentielle, car, écrit-il dans une tribune pour "Le Monde" daté de mardi, "la leçon d'avril 2002 n'a débouché sur aucun renouveau conceptuel au PS".
"Sarkozy rompt clairement avec cette droite habituée à cacher son vide derrière de grands concepts pontifiants", observe André Glucksmann. L'intellectuel se félicite notamment que le ministre de l'Intérieur "dénonce le martyre des infirmières bulgares condamnées à mort en Libye, les massacres au Darfour et l'assassinat de journalistes, puis énonce une règle de gouvernance fort éloignée de celle de Jacques Chirac."
"Que répond la gauche ? Peu de chose malheureusement. Où se niche le combat d'idées qui fut si longtemps son privilège ? Où s'est égaré l'étendard de la solidarité internationale, fierté autrefois du socialisme français ? ", s'interroge-t-il.
"Pas question d'incriminer une candidate que je respecte -même si je n'avale pas sa justice chinoise élevée en modèle de célérité. Elle se trouve aux prises avec un vide plus grand qu'elle", écrit le philosophe, qui constate que "la leçon d'avril 2002 n'a débouché sur aucun renouveau conceptuel au PS".
"Jamais au cours d'une vie longue et pleine d'engagements, je n'ai pris publiquement parti pour quelque candidat, sauf au deuxième tour de mai 2002", rappelle André Glucksmann. "Ma décision faite de douleurs anciennes et de perspectives nouvelles est réfléchie", assure-t-il, en se disant conscient que son ralliement à Nicolas Sarkozy lui fera "perdre des amis".
Avouant avoir un temps rêvé d'une candidature de Bernard Kouchner et ne pas partager toutes les options du candidat UMP, il estime que "voter n'est pas entrer en religion, c'est opter pour le projet le plus proche de ses convictions". AP
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Des idées de droite ? Ou tout simplement des idées frappées au coin du bon sens !
De quoi la France a-t-elle besoin ?
D'énergie !
C'est à dire de forces vives, de gens heureux et fiers, de plus de travail, de moins de misère... de plus de solidarité patriotique et de moins d'assistanat systématique !
Les propositions de Nicolas Sarkozy remettent le travail au coeur du système de gestion économique et social de la France.
En proposant la fin des charges sur les heures supplémentaires (salariales et patronales) et la suppression de l'impôt sur le revenu y attenant, Nicolas Sarkozy redresse sensiblement la barre dangereusement mal orientée par les socialistes avec leur 35 heures !
En proposant de baisser les charges des entreprises qui augmentent leurs salariés, Nicolas Sarkozy réajuste un fois de plus la place de l'Etat dans le dispositif du travail. Pourquoi l'Etat devrait-il taxer les entreprises et donc leur retirer des enjeux de croissance, pour finalement dédommager des salariés appauvris ou des chômeurs, alors même qu'ils ne demandent qu'à s'enrichir et à trouver un travail grâce à cette même entreprise !
En proposant dans le même ordre d'idées que les impôts directs(revenus fonciers, taxe d'habitation et ISF) ne dépassent pas 50% des revenus, il préfère que l'Etat se serre la ceinture plutôt que le travailleur créateur de richesses.
En proposant l'exonération des droits de succession, Nicolas Sarkozy redore une fois de plus le blason du travail. "On n'a pas à s'excuser d'avoir un patrimoine en contrepartie de son travail ! " (Nicolas Sarkozy) Et quoi de plus valorisant pour un chef de famille que de pouvoir le transmettre aisément.
Toutes les propositions de Nicolas Sarkozy tendent à revaloriser le travail et la réussite !
Les mentalités socialistes ont toujours choisis un Etat gérant une société malade !
Nicolas Sarkozy, lui, remet l'"Homme" au centre du dispositif.
Il a confiance en l'homme, et veut un Etat garant de sa sécurité et de sa liberté.
Quand on y pense... et qu'on l'explique... ces idées sont frappées au coin du bon sens !
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via le blog de Loic Le Meur.
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Par Henri GUAINO
Porté depuis longtemps par les associations qui soutiennent la cause des mal-logés et des sans-domicile, repris par le Haut Comité pour le logement des personnes défavorisées, présidé par Xavier Emmanuelli, défendu en vain à l'Assemblée par quelques députés de gauche et de droite, dont Christine Boutin, inscrit par Nicolas Sarkozy à son programme depuis son discours de Périgueux en octobre 2006, le droit opposable au logement vient de se voir consacré par le président de la République et s'apprête à faire son entrée dans la loi. On a tellement caricaturé cette idée qu'il est utile de revenir sur son sens véritable.
Qu'est-ce qu'un droit opposable ? C'est un droit que l'on peut faire valoir devant les tribunaux. La liberté de la presse, le droit d'être soigné, le droit de scolariser ses enfants sont des droits opposables. Mais le droit d'obtenir un emploi qui est inscrit dans le préambule de la Constitution n'est pas un droit opposable parce qu'il ne peut pas l'être : nul ne peut décréter la disparition du chômage.
La suite sur le site des Echos
Rédigé à 20:15 dans Archives | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Notre priorité est que les français gagnent plus, que leur pouvoir d'achat augmente !
A quoi sert de vivre plus longtemps, d'avoir plus de bébés, si l'on n'a pas les moyens de profiter de la vie, de vivre mieux, tout en gâtant ceux qu'on aime.
Or, plus de pouvoir d'achat, c'est moins de prélèvements.
Moins de prélèvements, c'est un rééquilibrage du budget de l'état dont la dette est devenue aujourd'hui insoutenable !
Pourtant des solutions existent à condition de le vouloir et de l'expliquer aux français :
La dette de la France : c'est 1.117 milliards d'euros fin 2005 contre 92 milliards d'euros en 1980 : 66 % de la richesse créée chaque année !
Ce désendetter est une priorité pour se redonner des marges de manœuvre politique.
Les "mauvaises dépenses", c'est à dire les contraintes budgétaires fortes, tels que les simples intérêts de la dette, absorbent pratiquement le produit de l'impôt sur le revenu et donc nous privent des "bonnes dépenses".
Dans le remarquable rapport de Michel Pébereau, la dette publique est comparée à une coupe "géologique" qui met clairement en évidence les conséquences financières très pénalisantes des choix de politique économique des gouvernements de gauche ; toujours incroyablement à contresens de l'économie mondiale et qui ont lourdement pénalisé notre croissance, nos finances et précipité notre dette !
- Les recrutements massifs de fonctionnaires,
- l'abaissement de l'âge légal de la retraite à 60 ans,
- les 35 heures...
Trois mesures qui à elles seules expliquent plus de 400 milliards d'euros de la dette actuelle.
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Il aime les gens, et curieux de tous les moindres aspects de leur vie, éprouve toujours comme un véritable challenge de leur améliorer !
Son programme est ambitieux !
Mais rien n'est laissé au hasard !
Cet homme là est un entrepreneur, un homme d'actions, un homme de solutions !
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Ah ces bons vieux socialistes !
Décidément, Ségolène doit être folle de rage !
Pendant qu'elle fait des efforts surhumains d'illusionnistes pour nous faire voir un candidat socialiste nouveau, différent, ouvert, à l'écoute de l'avis des français sur tout et n'importe quoi, François (Hollande ndlr), lui se lâche !
Et oui on ne se refait pas, les vieilles lunes socialistes réapparaissent !
La suppression des baisses d'impôts est une hérésie et les classes moyennes vont le payer très chers !
Sans compter la baisse de la consommation qui en découlerait, baisse de la croissance, de l'investissement et donc la remontée du chômage !
Cycle infernal récurrent à la gestion des socialistes, qui tire la France vers le bas... Et alors que le Monde entier et notamment l'Europe rallonge le temps de travail et repose le départ à la retraite, François annonce déjà qu'ils reviendront sur la réforme des retraites de François Fillon !
S'il vous plaît Monsieur François, continuez à parler !
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Mes chers amis, Une nouvelle année commence ! Je vous la souhaite la plus douce possible... Je vous souhaite, bien évidemment d'abord la santé, si précieuse et si aléatoire, mais si essentielle à tous les autres bonheurs........... Je vous souhaite de l'Amour, beaucoup d'Amour, toujours plus d'Amour à recevoir et à donner... Je vous souhaite d'être passionnés... passionnés de la vie, passionnés du bonheur, passionnés des gens... Je vous souhaite pleins de projets des plus humbles aux plus ambitieux... des projets à réaliser ou juste de beaux rêves qui permettent d'avancer et de se surpasser... Je vous souhaite de rire, de rire et encore de rire... je vous souhaite de rire souvent et même si certaines fois celà peut paraître plus difficile... Je vous souhaite beaucoup de courage, de volonté, de dynamisme, d'inventivité, de chance, d'énergie, de curiosité, ... Je vous souhaite d'être écoutés... et entendus... Je vous souhaite d'écouter et d'entendre..... Je vous souhaite de partager... tout et souvent... le partage est toujours une richesse... Je vous souhaite une vie la plus merveilleuse possible, dans un monde le plus merveilleux possible
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Rédigé à 21:52 dans Archives | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Jamais le résultat d' une échéance électorale n'aura eu autant d'importance que celle des prochaines presidentielles !
Le Monde va vite, très vite...
Les autres pays, qu'ils soient industrialisés ou émergeants, se livrent une bataille sans merci : bataille économique pour leur pouvoir d'achat, leur emploi, bataille sociale pour leur niveau d'éducation, la renommée de leurs universités, de leurs écoles, pour leur sécurité sanitaire, bataille pour la sécurité de leur territoire, de leurs frontières, de leur population...
Et tous ces pays n'attendront pas la France si elle perd du terrain dans ce combat mondial, si elle prend du retard dans les décisions nécessaires au maintien de sa place dans le monde.
Rédigé à 16:39 dans Archives | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Ce soir, je pense avec nostalgie et tendresse à mes 32 (oui déjà) années de vie politique !
C'est en 1974, Monsieur le Président, en vous écoutant à la télévision, que j'ai décidé de m'engager derrière vous…
Vos arguments étaient forts, intelligents, frappés au coin du bon sens.
Votre amour de la France et votre rejet du socialisme m'ont donné des ailes !
J'ai énormément appris à vos côtés…
L'excitation de la vie politique, ses satisfactions et ses fiertés mais aussi ses échecs (et Dieu sait que nous en avons connus d'injustes !) et surtout ses moments d'intense solitude....
J'ai connu alors toute jeune militante, votre départ de Matignon en 1976, pour les raisons que l'on connaît et que je partageais complètement.....
J'ai connu la création du RPR et participé avec enthousiasme à l'engouement qu'a provoqué ce grand moment de notre histoire auprès de très nombreux de nos concitoyens.
J'ai connu votre 1ère campagne et votre 1ère victoire en 1977 à la Mairie de Paris. Là encore votre énergie et votre envie de convaincre nos administrés étaient motivées par vos profondes convictions et l'intérêt général.
J'ai eu la chance, quoiqu'encore fort jeune, de participer à votre 1ère campagne présidentielle en 81 puis à celle de 88... J'ai connu l'euphorie de ces moments !… Je vous ai vu gagner l'affection et la confiance des français, un à un!
Je vous ai vu aussi surmonter les échecs, remonter sur votre cheval et recommencer plus riche de vos expériences.
J'ai admiré un homme d'État …..
De ceux pour qui, je ne regretterai jamais d'avoir donné autant d'années à la politique.
Cette politique, maîtresse si séduisante mais si ingrate !
Ce virus dont on ne se défait jamais, sauf en apparence !
Cette grande satisfaction qui fait qu'il peut nous arriver de nous coucher le soir fier de l'action réalisée pour notre pays et ses concitoyens,… et cette insatisfaction qui nous fait nous relever le matin, heureux des nouveaux défis et de la façon dont on va les surmonter.
Plus que votre amour de la France, vous avez su communiquer à votre entourage, l'amour de la politique !
Cette véritable «profession», si souvent décriée, si souvent salie, si souvent sous-estimée et qui pourtant n'est pas à la portée de tous, car nécessitant de nombreuses qualités est un vrai sacerdoce !
Et enfin, monsieur le Président, j’ai vécu votre victoire à la présidentielle en 95 …
Aujourd’hui, monsieur le Président, les années ont passé…
Beaucoup a été fait……Beaucoup reste à faire.
La conjoncture a changé et certains échecs ne pouvaient être évités.
Or je sais, malheureusement, que la «politique» n’est pas toujours la victoire de la raison mais celle du calcul et de la destruction.
Je veux croire que, fidèle aux convictions qui ont motivé vos combats, vous saurez, sans regrets, sans aigreur, sans rancune, sans rancœur , «droit dans vos bottes» et tel que nous sommes si nombreux à vous avoir connu, laisser la France tenter la chance du succès, avec pour seule motivation l’intérêt général.
Merci Monsieur le président !
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